vendredi 21 novembre 2008

Colette | L'insigne est bien accroché...


Je suis un peu intimidée par la technique, mais l'insigne est bien accroché avec sa petite épingle.

Je fais mes premiers pas, seule, comme une grande, pour vous rejoindre...l'école privée et l'école laïque font désormais oeuvre commune.

Quel plaisir de m'associer à vous!
C'est pour moi à marquer d'une pierre blanche, l'équivalent de la magie du feu d'artifices de mon enfance.
kkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkkk
En évoquant le reposoir de l'église durant le mois de mai, c'est le parfum sucré et quelque peu entêtant du mélange de fleurs qui arrive jusqu'à moi.
J'avais complétement oublié cette tradition du mois de Marie.
Tout revient en mémoire par la magie de quelques mots, l'image de ces brassées de fleurs blanches qui ornaient l'autel.

Poutouns.

Colette


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NICOLE, JE TE PRÊTE MON LIVRE



2 commentaires:

Anonyme a dit…

J'attends avec impatience la confrontation entre l'école laïque et l'école religieuse.
Les principes éducatifs, l'ambiance, les a côtés...
Tout celà était-il si différend ?

Colette a dit…

Bonjour lecteur(trice),

J'essaie à nouveau de vous répondre, peut-être aurais-je plus de chance cette fois avec l'informatique!

A cette époque (55-60) la coloration de la société était très judéo-chrétienne dans ses racines, dans beaucoup de ses références.

Je pense en particulier à nos leçons de" morale laïque" avec une maxime tous les matins au tableau noir, lesquelles leçons paraîtraient bien étranges actuellement à l'école communale publique.

Colette