jeudi 22 novembre 2012

Cher Père Noël !



 
Aujourd'hui 
nous avons envie de vous faire partager notre plaisir.
Des extraits de trois de nos textes sur Noël 
viennent d'être publiés 
dans le dernier livre de Jean Pierre Guéno   

clic pour agrandir

 Les textes, pages, photos et illustrations 
sur papier glacé sont magnifiques. 
Nous sommes très fières et très heureuses,
d'avoir notre place
parmi tant d'autres souvenirs.  

Suivez-nous sur le chemin des Noëls de notre enfance,
d'un simple clic sur chaque photo  

Anne | Noël
 

Nicole | Rêverie de Noël
 

Nicole | Les petits santons
 




A SUIVRE...
Car en Lorraine, à Bouzonville
 où Anne a passé ses premières années,
c'est une toute autre histoire.
Saint Nicolas et le Père Fouettard
rendent visite aux enfants sages et pas sages
et apportent cadeaux ou...

...Rendez-vous le 5 décembre
pour connaitre la suite !



mardi 9 octobre 2012

Intermède Poétique 2



A celles et ceux qui eurent notre âge  
quand nous avions le leur.

L'été tirait vers sa fin, les vacances aussi.
Nous reprenions le chemin de l'école.
Les feuilles des platanes de la cour
allaient nous offrir une palettes de teintes ocres
qui illumineraient nos rondes
dans la belle lumière de l'arrière saison. 
L'été tirait sur sa fin,les vacances aussi. 
 
  Colchiques dans les prés fleurissent fleurissent 
Colchiques dans les prés C’est la fin de l’été. 
 La feuille d’automne emportée par le vent
En ronde monotone tombe en tourbillonnant 
Châtaignes dans les bois 
Se fendent se fendent
Châtaignes dans les bois
Se fendent sous les pas.
 La feuille d’automne emportée par le vent
En ronde monotone tombe en tourbillonnant
Nuages dans le ciel
s’étirent s’étirent
Nuages dans le ciel 
S’étirent comme une aile 
La feuille d’automne emportée par le vent
En ronde monotone tombe en tourbillonnant 
Regardez bien
 
La cour de récréation reprend vie. Comme un petit film en super8. un peu saccadé et maladroit. L'image tremble avant de trouver le bon angle. Si le noir et blanc est d'époque, les souvenirs, eux sont en couleurs. Et nos rires, nos cris heureux, à jamais dans le creux de l'oreille. Là où nous nous chuchotions des secrets...

 


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vendredi 5 octobre 2012

Intermède Poétique





L'école

L'école était au bord du monde,
L'école était au bord du temps.
Au dedans, c'était plein de rondes ;
Au dehors, plein de pigeons blancs.



On y racontait des histoires
Si merveilleuses qu'aujourd'hui,
Dès que je commence à y croire,
Je ne sais plus bien où j'en suis.


Des fleurs y grimpaient aux fenêtres
Comme on n'en trouve nulle part,
Et, dans la cour gonflée de hêtres,
Il pleuvait de l'or en miroirs.


Sur les tableaux d'un noir profond,
Voguaient de grandes majuscules
Où, de l'aube au soir, nous glissions
Vers de nouvelles péninsules.


L'école était au bord du monde,
L'école était au bord du temps.
Ah ! que n'y suis-je encor dedans
Pour voir, au dehors, les colombes.


Maurice Carême
La flûte au verger



lundi 9 janvier 2012

INVITATION

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Nos galettes des Rois
ont gardé toute leur fraicheur !

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Goûtez
Comparez
Revenez-y...


Toute personne qui trouvera la fève
recevra une magnifique couronne en or !




NICOLE
si ce n'était pas elle,
c'était son frère.
Mais elle savait être
quand même...

la Reine des Reines

 cliquez sur les photos


ANNE
 avait à faire face
à une rude concurrence.
Elle se consolait avec sa grand-mère
 en écoutant
dans le poste...

 
Reine d'un jour.

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lundi 19 décembre 2011

Anne | L'année de mes 13 ans

ANNE

ANNE

  .
  J'étais une enfant exclue du monde des adultes,
pourtant, toujours curieuse de ce qu'ils disaient.

C'est ainsi que j'ai su.
Ma grand-mère maternelle, était à l'hôpital.  
C'était grave.
  Ma mère partait souvent. 
Le téléphone sonnait, j'écoutais. 

 Un matin, il a sonné très tôt.
J'ai compris tout de suite. 
C'était une situation étrange.
Je savais, et je ne pleurais pas.
Je crois que j'attendais les mots,
et que l'on me console.

 Rien n'est venu.
J'ai entendu parler mes parents.
Ils se demandaient
si j'allais venir à l'enterrement.
Non.
Je resterai avec mon petit frère.

C'est ainsi, accompagnée de ce silence,
que j'ai passé les deux jours suivants
avec François qui avait 5 ans.

Tout ce dont je me souviens,
c'est qu'avec l'argent laissé par mon père,
je n'ai rien acheté
qui puisse servir à préparer un repas.
 J'ai fait des petits cakes avec une préparation Alsa.
Ils avaient un goût affreux. 

 Nous avons dormi, serrés l'un contre l'autre,
dans le lit de mes parents.
Nous étions terrorisés.
 Le lendemain, 
nous ne nous sommes pas levés.
J'ai mélangé du coca-cola
avec de la crème de marrons,
et nous avons mangé ça.
C'était immangeable, mais nous l'avons mangé. 

Mes parents sont rentrés.
Et rien ne fut dit.
 L'été qui suivit,
nous avons retrouvé la maison, sans elle.

Je sens encore le poids
de ces larmes  
que l'on a pas laissé couler.

Je sais,
qu'elle,
elle m'aurait prise dans ses bras,
et serré si fort que j'aurai eu mal.
Et ce mal m'aurait fait du bien.

 



 Anne

jeudi 17 novembre 2011

Nicole | Lettre à ma Tante et Marraine




Manou

Tu as beaucoup souffert, je le sais !
Auprès de toi tous les jours, je souffrais aussi...
Sur ton visage, je voyais s’imprimer les ravages de la souffrance que ton corps malade te faisait subir.
Ton sourire avait disparu pour laisser place à des gémissements.

Tu avais peur et je ne savais que dire .
J’en arrivais à maudire mon impuissance.

Hier, j’ai voulu te lire un texte du « Prions en Église » que tu aimais tant,
 je pensais que la lecture d’une prière t’apaiserait.
J’ai ouvert le livre au hasard.
 je suis tombée sur ce si beau texte
 « le Seigneur est mon Berger …dans les verts pâturages il me fait reposer «
Je ne suis pas parvenue à le lire.
L’émotion était si forte que mes mots sont restés bloqués au fond de ma gorge.

Tu avais les yeux clos.
Je me suis détourné de ton regard pour pleurer en silence.

C’est à cet instant que j’ai senti ta main glisser sur mon bras
 et c’est toi qui as pris ma main pour la garder dans la tienne.

Les mots étaient devenus soudain inutiles et dérisoires.

Nous sommes restées longtemps ainsi.
C’était un jour de grâce …
 Tu étais prête !
Manou, je t’aime !


Tu vois, aujourd’hui nous sommes tous ici rassemblés autour de toi,
 ta famille, neveu, petits neveux, petites nièces, tes amies et amis,
 tous ceux que tu connaissais et à qui un jour ou l’autre tu as apporté un peu de réconfort,
ceux que tu ne connaissais pas et qui sont aussi présents  à ton "Saint Mich " ta paroisse 
comme tu aimais le dire et que tu aimais tant.
Un jour tu m'as dit  que c’était cela qui te maintenait en vie …

Ton métier d’enseignante, tu l’as exercé avec une rigueur et une conscience exemplaire
 tout cela je le sais pour avoir lu beaucoup de lettres de remerciements de tes élèves.

Voilà Manou,
 je pourrais parler de toi encore pendant des heures.
 Maintenant nous sommes tous là près de toi pour t’accompagner jusqu’au bout du chemin
vers cet Autre…ou je le sais
 tu nous attendras.

Nicole








vendredi 18 mars 2011

Anne | Le prix de la Victoire


A
ANNE

.;
C'était un cours d'Histoire comme les autres. 

J'avais 12 ou 13 ans. Écoutant d'une oreille distraite, cette voix monocorde qui endormait toute la classe.
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Et soudain ce fut le choc. 

Jamais je n'oublierai cette image.
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Quelques secondes auparavant, sur cette place, des enfants jouaient, des amoureux se regardaient dans les yeux, il y avait un jardin, des chants d'oiseaux...

Et puis une Bombe Atomique avait semé la mort.
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De la vie, il restait une sorte de photographie sur un mur. Une silhouette qui en se désintégrant avait laissé... quoi ?
Comment nommer cette horreur.

Le professeur continuait, la deuxième bombe fut lancée trois jours plus tard, le Japon a capitulé, la Seconde Guerre Mondiale était ENFIN terminée.
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J'entends encore l'espèce d'envolée lyrique qui accompagnait cet ENFIN.
Et moi c'est l'ENFER que j'ai vu. 
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Je savais peu de choses sur la Vie.
Nous ne recevions pas une éducation destinée à confronter nos idées avec les adultes.
Nos mondes étaient séparés. Les questions  recevaient souvent comme réponse, tu comprendras quand tu seras grande.

Hiroshima, sa bombe dont le nom était Little boy, et Nagasaki.
Ce fut le prix de la Victoire, et la preuve que l'homme pouvait devenir fou et assassiner des villes entières.

Sans le savoir, ce jour-là, j'ai appris que toujours, il me faudrait décider.
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Être pour.
Être contre.
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Ne pas rester les bras croisés sans rien dire.
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Choisir son camp... TOUJOURS.

Anne


; 

jeudi 10 mars 2011

Nicole | L' homme au pardessus beige.




NICOLE



Je ne savais jamais ou il serait l'homme au pardessus beige .
Il surgissait parfois de nulle part sur le chemin  de  mon école.
Souvent  je l'entendais avant même  de l'apercevoir,
  et  parfois  ce fut l'inverse.


Il criait    "A bas les Français d'une voix rauque et  tonitruante. 
Les enfants se moquaient de lui, 
  les parents changeaient de trottoir, 
baissaient les yeux,
 il ne fallait pas le voir !


Je ne sais ou il dormait l'homme au pardessus beige
 dans la rue 
peut être.
ou bien nulle part !

Parfois, il  attendait devant la petite porte de l'école
 le morceau de pain et de jambon que lui avait préparé  
 Sœur Marie Monique 
dans le silence du réfectoire vide.  
  Puis,  toujours d'un pas mal assuré
 il repartait,  
titubant   vers ce  nulle part.
  Son nouveau  toit.


Il était immense dans son pardessus beige 
 et  pourtant  il semblait  si  fragile, si vulnérable .
Il avait tout perdu.
 Famille, femme, enfants pendant cette satanée guerre d'Algérie. 
Il ne lui restait plus rien, 
seulement comme compagne cette bouteille vide  posée à ses  cotés  
et cette voix  forte  pour hurler  sa détresse.

Il s'appelait Charlie  l' homme au pardessus beige. 
Et  ce jour là,
sans doute  pour la première fois,
 la réalité de la vie me sautât cruellement   au visage.



Nicole.

En mémoire à Charlie le premier SDF
 que je connus sur le chemin de mon école.


jeudi 7 octobre 2010

Anne | Les 5 opérations

|

 ANNE 
.......................
Je suis née en 1949, dans une petite ville de Lorraine.  Dans cette période de l'après-guerre, chaque enfant était pour tous, un cadeau du ciel. Mes premières années passèrent ainsi, entourées d'attentions affectueuses. J'étais chez moi, partout.
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A deux ans
.
une après-midi, j'ai dû accompagner mon frère au Pensionnat. Arriva l'heure de rentrer. Je refusais.
Soutenue par les supplications de tous ceux que j'avais diverti avec mes imitations, j'y suis revenue le lendemain. Et les jours suivants, pendant trois ans.
J'allais y faire la connaissance d'une nouvelle et nombreuse famille, qui était là sans y être, et avait vécu des aventures extraordinaires.
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Parmi eux, le plus cher à mon cœur, était Saint Nicolas. Il avait sauvé d'un boucher cruel, trois petits enfants, coupés en morceaux et mis au saloir.
Mais surtout, il se déplaçait en personne, début décembre, pour nous apporter des cadeaux.

Sa venue était célébrée
par une immense et fervente procession.
Je ne l'ai aperçue qu'une seule fois,
de façon fugace,
mais j'en suis restée émerveillée à jamais,
par les lueurs vacillantes des flammes dans la nuit.
.
.
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Tout le jardin d'enfants participait
à la Crèche Vivante qui célébrait
la naissance du Petit Jésus.

Tous les soirs, les mains bien jointes, à genoux au pied de notre lit, nous demandions à ce nouvel ami de nous rendre bien sages. Nous le chargions aussi de protéger tous ceux que nous aimions, que nous énumérions longuement pour retarder le moment de nous coucher.

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Son histoire me ravissait. Sa naissance. L'aide apportée par le Bœuf et l'Ane. L'Étoile guidant les Rois Mages et que je cherchais dans le ciel. Ses deux pères. Sa mère, La Vierge Marie qui était la fille de Sainte Anne. Porter le prénom de sa grand-mère me rendait très fière et c'était un argument qui laissait mon frère sans voix, quand je me disputais avec lui.
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Je venais d'avoir cinq ans
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lorsque nous avons déménagé à Marseille.
La Cité Radieuse de Le Corbusier
était à peine terminée.
Personne ne voulait y habiter,
et on l'appelait La Maison du Fada.
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Nous y étions peu nombreux,
et très vite, nous avons retrouvé autour de nous,
un monde rassurant, familier et chaleureux.
;
;
J'étais une enfant rêveuse, qui adorait parler, franchissant, sans la voir, la frontière entre ce que les adultes appelaient, vérité et mensonge.
Mon imagination était façonnée par toutes les histoires et les légendes qui m'avaient été racontées.
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J'avais la passion des livres, et j'allais très vite pouvoir les lire seule. Mais déjà, j'en avais retenu assez pour en décrypter les images.

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Avec un enchantement qui n'appartenait qu'à moi, je me laissais happer par des univers qui me semblaient tout à fait réels.
.
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J'allais m'y réfugier souvent. Sans doute pour échapper au mien, envahi par un petit frère et une petite sœur qui prenaient beaucoup de place.

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Je garde un souvenir très fidèle
de mon arrivée dans ma nouvelle école

.
Dès la première pièce que j'ai visité,
j'eus un coup de foudre.
Sur un rayon de soleil, un Ange étincelait,
blanc et bleu,
de l'or sur son manteau et ses ailes.
Il inclinait son beau visage pour dire merci,
lorsque l'on glissait une pièce
dans une fente sur sa poitrine
.
Il devint pour moi
l'incarnation de mon Ange Gardien.

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Nos activités scolaires
étaient bien différentes de celles de La Communale
que fréquentait mon frère aîné.
Si nous avions des maîtresses,
c'étaient les Sœurs qui s'occupaient de nous
en dehors de la classe, et nous les adorions.
;

Notre journée commençait par la prière,
les yeux fixés sur le Crucifix
accroché au mur de la classe.
Nos dictées et pages d'écriture
soulignaient
les grands moments de l'année.



A midi, avant de nous asseoir
nous rendions grâce à Dieu pour le repas
que nous allions prendre.
Et nous chuchotions parfois entre nous,
reprenant ce que l'on trouvait
sur nos cahiers,
qu'il pourrait mieux faire.
Particulièrement le vendredi, jour du poisson.
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.
Le Catéchisme
Une fois par semaine, nous allions à l'église,
parcourant en rang joyeusement désordonné,
la centaine de mètres qui nous en séparait.
C'était l'occasion d'observer tous les détails
que nous devinions
depuis notre cours de récréation.
.
;
La maison de la cantatrice,
d'où parvenait parfois un chant lointain.
La vapeur qui sortait du soupirail
de la blanchisserie.
L'animation bruyante,
autour des marchands de la place.
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Le contraste était grand
entre l'extérieur, inondé de lumière,
et la semi obscurité qui régnait à l'intérieur.
Il flottait dans l'air un reste d'encens
du dimanche précédent.
En entrant, nous plongions l'extrémité
de notre main droite dans le bénitier,
et le Signe de Croix nous mouillait le front.
;
L'abbé Pirot
pour lequel je ressentais
une profonde affection,
était bienveillant, toujours souriant,
et son enseignement était à son image.
Il nous parlait du Ciel et de l'Enfer,
nous décrivant le second
comme s'il ne nous concernait pas vraiment,
et s'attardant sur le premier avec lyrisme.
.
Ce Ciel
où nous irions rejoindre
ceux qui nous avaient précédés,
était quelque chose de palpable.
Comment douter de son existence
quand il suffisait de lever les yeux
pour en saisir la beauté
et tous ses mystères ?
.
Ce bleu profond parfois teinté de rose
qui s'étendait à l'infini.
.
Ces nuages blancs irradiants de soleil.
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Ceux d'un gris sombre
annonçant pluie, orage et éclairs,
que je contemplais
comme une manifestation divine spectaculaire.
.
La nuit, qu'une myriade d'étoiles faisaient palpiter
comme les âmes qui y vivaient.
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;
Ces mirages exerçaient sur moi
une fascination profonde.
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L'Histoire Sainte
différait peu de mes récits familiers.
Jésus y occupait la première place.
Nous le suivions depuis sa naissance
jusqu'à sa Résurrection,
qui m'impressionnait beaucoup plus
que sa Crucifixion.
Les images pieuses nous le montraient
grandissant entre ses parents,
comme un enfant ordinaire.
Sur l'une d'elle,
dans l'atelier de Saint Joseph,
il clouait gaiement deux planches
pour en faire une petite croix.
.
.
Cela m'amenait à le considérer
avec le même regard qu'un personnage
des Contes d'Andersen, mon livre préféré.
Son univers n'était pas le nôtre.
Il venait au monde à Noël.
Vers le mois d'avril, déjà vieux,
il avait déjà terminé sa vie.
Il ressuscitait trois jours plus tard,
pour monter au ciel au mois de juin.
Puis tout recommençait au Noël suivant.

Ce qui m'intriguais,
c'était l'intérêt que les adultes
portaient à cette histoire.

J'avais plus de mal avec la Sainte Trinité,
le Père, le fils et le Saint Esprit.
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Ma mère en était en partie responsable.
Elle ne cessait de répéter,
en découvrant nos bêtises,
et notre peu d'empressement à les reconnaître,
... ça ne c'est pas fait
par l'opération du Saint Esprit !
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Un jour, en calcul, interrogée sur les 4 opérations,
j'ajoutais fièrement après les avoir énumérées,
qu'il en manquait une.
Ah bon, et laquelle ?
Celle du Saint Esprit !

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Ma réputation de clown en sorti grandie,
mais je me sentis, pour une fois,
injustement punie,
en faisant mes tours de cours
à la récréation suivante.
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Certaines images figurent depuis longtemps dans mes dossiers personnels. Je ne peux en citer les auteurs. Je retirerai tout document litigieux, si l'on m'en fait la demande en laissant un commentaire
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